uncannily-starry

Plein d'étoiles

Mercredi 28 mai 2008 à 21:31


"Ce que tu parcours à pas cours ou à grandes foulées

Ce que tu défoules à travers la foule qui te fouille et te
Chatouille le chemin que tu traces qui si souvent te
Dépasse qui t'excite ou t'agace les tours de passe-passe
Au fond des impasses rien n'est à toi c'est juste l'histoire
Du monde rien n'est à toi chacun sa petite seconde
Tous ces
mots qu'il aura fallu soigner tous ces idéaux
Desquels s
'éloigner toutes les têtes qu'il aura fallu briser
Tous
les coeurs qu'il aura fallu piétiner tous ces jours à
Croire pour cent tous ces jours à pleurer tout seul tous
Ces rencontres à contre-vent tous ces oeil pour oeil
Et rentre-dedans pour dent tous ces châteaux d'effort
Aux ponts de vie tous ces murmures d'armures faisant
Voler les murs toutes ces forces en face à face tous ces
Fous qui font des grimaces tu t'en fous tu laisses ta place
Ta seule richesse c'est ton sentiment qui te pousse vers l'avant..."




Danielle & Molly, by Paul.


Le simple souvenir qui se projette vers l'avenir. Peut être un retour à vos côtés.
Parfois j'aimerais connaître ce sentiment de certitude. Le voyage gambade dans mon esprit.


J'veux aussi pouvoir gambader...


Mercredi 21 mai 2008 à 19:40

Pour
toutes ces envolées lyriques
insensées .

Pour un cul posé vers le ciel.__________________________________________________ Pour un moment de folie partielle.

Pour ses mains baladeuses posées !





Un regard ignorant plongé dans l'sourire de la vie.
Renverse-moi, je tombe déjà !

"
Elle a la sensibilité tenue à vif.
Pas de doute, la barre est haute, mais
Pas le choix, jamais dire jamais
."


Mardi 20 mai 2008 à 22:22

 I could not erase it.

Je ne sens plus qu'un écho qui résonne.

Toutes ces abysses qui se forment, mais une seule qui respire enfin la fin.
Une noirceur délicate qui révèle un teint aussi pâle que vide. Cette image qui m'habite et me terrifie.
Et celle-là qui me poursuit. Le ciel s'intensifie et se remplit, mais elles ne brillent plus.
Désormais rien ne s'éclaire, ni même ne bouge tout s'obscurcit seulement dans le tourbillon de ces souvenirs.
 
Des maux insoupçonnés qui ne seront jamais perçus. Le cri du cœur, la faiblesse de ne plus y croire.
Fuir de nouveau, ne plus avoir de souffle et trouver enfin la paix intérieure. Chercher tout ce que l'on ne peut
avoir pour aboutir à l'ultime dévotion, se fondre dans l'inexistant. Ecrasée, je me cache, et je disparaîtrai.

Guarda, non muoio e non ci credi, mento senza dubio.

Je ne suis que le mensonge que j'ai créé, le vois-tu ?

Et cette étincelle lointaine, affaiblie de jour en jour, que j'essaye de retenir misérablement.

La suivre, l'aider, la chasser ? Surprendre un cœur qui rétrécit ou une larme qui retentit.
Ses yeux me mentent. Et les miens te mentent...



Jeudi 8 mai 2008 à 17:53



Le temps de plusieurs chansons, la mécanique du cœur s'est mise en route sous mes yeux ébahis...


De la musique. Une voix, ou deux, percutant chacune des personnes présentes. Un décor qui nous plonge dans leur univers. Un cœur et encore un autre, et ces lumières qui jaillissent une à une ou toutes en même temps. Une horloge et son tic-tac sonore. Une ambiance qu'il emporte avec facilité, et cette chaleur si intense qu'elle en serait presque étouffante.


Et puis cette jolie complicité, elle serait presque enviable. Une impulsion, et le voilà parti pour une balade légère et incontrôlée au cœur de bras inconnus. Quand soudain, toutes ces voix se projettent à l'unisson... Les étoiles brillaient là-bas au moins.



"...car alors pour toujours, à l'horloge de ton coeur la grande aiguille des heures transpercera ta peau,
explosera l'horloge, imploseront tes os, la mécanique du coeur sera brisée de nouveau."


Jeudi 8 mai 2008 à 14:50

 "Allez neige tombe comme avant
Eclaire-moi dans la nuit noire, éclaire-moi maintenant
Je ne suis plus vraiment comme avant, comme avant
C'est un cimetière d'étoiles cassées
Qui a poussé hier dans mes poches glacées...

 J'en veux encore des étoiles filantes
Entre mes doigts dans le ventre et le cœur
Plantez-moi, je me soulèverai
Allez petit fais-nous voir ça
Je ne sais plus comment ça marche les éclairs
Mais, j'en veux encore, j'en veux encore...

Il faut réparer, recoller, me recoudre à la foudre super glue des cieux
Messieurs Dames, je ne vais peut-être pas y arriver
Mais allé neige tombe comme avant ! Éclaire-moi
Envoie-moi tes flacons d'éclairs tendres
Tombe sur moi, avalanche avale-moi... "





Histoire de ne pas oublier cette journée. Et ce cœur de bois surtout
"Pour moi c'est l'heure de foutre à la poubelle mon cœur en bois et pour de bon..."


[ Entrecoupées de chansons, les souvenirs se divisent. Une ombre. Ou une autre. Laquelle attraper ? ]

" Je ne sais pas où je vais, oh ça je ne l'ai jamais bien su, mais si jamais je le savais, je crois bien que je n'irais plus..."

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