Bien sur que je ne laisserais pas de traces.
La facilité du vide, lorsque simplement, on s'efface.
By Paul.
Et se laisser gagner par ce léger soupir.
Fébrile, j'envisage même le pire.
A l'endroit, à l'envers.
Lundi 17 novembre 2008 à 20:30
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