uncannily-starry - Plein d'étoiles

Pensées décousues

Tue, 17 Jun 2014 19:06:00 +0200

Et si c'était aussi simple...

Le coeur grenadine.

Sat, 02 May 2009 11:45:00 +0200

Le soleil s'étend le long de leurs visages souriants.

Un ciel bleu parfumé de quelques légers nuages, le vent souffle suffisamment pour faire frémir sa belle chevelure.
Elle a pris son air désinvolte rempli d'insouciance pour ne laisser rien paraître.
La mer l'observe, son regard s'y plonge, elle s'y perd, s'y retrouve puis y rêve un peu.
Dans un élan de surprise, les voilà nez à nez. Comme avant ?
Elle ne peut alors y échapper, face à la mer, sous un coucher de soleil naissant,
la voilà serrer délicatement dans ses bras, oubliant presque le reste...

Quant à elle, elle se retrouve piégée au coeur de ses souvenirs brûlants.
Rien ne disparaît et tout s'accorde à chanter sur un rythme qu'elle se surprend à connaître par coeur.
Des psittacismes qui resteront enfouis pour ne pas changer leurs vues, leurs espoirs.
Parce que peut-être que c'est le début de tout autre chose...

Only the stars are still shining in my head.

Wed, 31 Dec 2008 10:52:00 +0100

[ Elle ne vit pas, elle fuit dans la brume.
Elle sourit dans la brume qui ne se dissipe jamais. ]

By Henri Cartier-Bresson.

I wanna sometimes take your hand

And walk away from all...

But I know you won’t be there,

You’re leaving, and I can’t ask you to stay,

I’m so afraid, and the darkness is staring at me,

Look and find the way, the way to be.

Family portrait.

Thu, 18 Dec 2008 14:30:00 +0100

- Over there -

Ce petit pas pour pas marcher au pas.

.We In Ireland.

Toujours une présence.
Clignotante ou fourmillante, un caractère qui s'emporte.

[C'est un besoin, une envie et même la nuit je rêve de toi.]

Les choses changent et les journées se multiplient laissant derrière elles, images interposées ou sourires cachés.
Et finalement s'illustrer dans la tranquillité, gaspillant l'instant et veillant à dévorer ce qu'il reste de là-bas.

Je les tairais jusqu'au dernier.

Mad world.

Wed, 17 Dec 2008 22:19:00 +0100

Fra la speranza e la disperazione,
la mia mente fuggevole ci intrufola.

Une surprise qui s'approche. Je ne pensais même pas la côtoyer.
Le sourire ne s'en détache plus ni même ce regard malin.

Ses grands yeux bleus m'ont rassurée.

Parce que rien ne s'était envolé.
Et que tout revient aussi vite...

Caressant la mélancolie.

Thu, 20 Nov 2008 22:46:00 +0100

"Un peu de silence, un peu d'air
Juste un temps d'arrêt sans lumière
Rien que la nuit pour envelopper un goût amer
Je ne vois que du noir, je ne vois que de l'effroi
Je crois qu'il se fait tard, je ne suis plus sûr de moi
Je sais très bien que rien ne changera..."

En attendant le pire - DSLZ

Dublin City.

Mes yeux s'écarquillent puis ils s'embuent, laissant à peine place à la vision. C'est à peine pour croire en un joli nom.
Je m'enveloppe doucement de mensonges assez discrets pour être oublié. J'effleure des bras, les sourires s'inclinent.
Partout, les œillades envahissent les quartiers, semblant juste crever l'air. Tu attraperais juste un bout d'atmosphère ?
J'me régale d'être allongée par terre et j'me recouvre d'un pull si grand que j'sens encore l'espoir traverser l'fond.

[When she leaves, she's just asking to be followed. ]

Mon, 17 Nov 2008 20:30:00 +0100

Bien sur que je ne laisserais pas de traces.
La facilité du vide, lorsque simplement, on s'efface.

By Paul.

Et se laisser gagner par ce léger soupir.
Fébrile, j'envisage même le pire.

A l'endroit, à l'envers.

Sans trucage, ni même métaphore m'as-tu dit.

Tue, 04 Nov 2008 20:54:00 +0100

Alors pour une fois, je vais enlever tous les mots comme tu dis, je ne me cacherais peut être pas.

Ces 17 mois me paraissent interminables. La douleur passe avec le temps, et celle-là qu'en est-elle ? Elle joue avec plutôt, maniant très bien des pics ou des creux, selon le jour, la fatigue ou même le stress. Ce bras me fatigue. Et non ce n'est pas, comme le croit la plus part des gens, dans ma tête. Une vraie douleur, et oui ça m'gache par moment la vie, parce qu'on n'arrive pas toujours à tout bien supporter. Je suis loin d'être assez forte. Je n'arrive même plus à m'imaginer de ne plus avoir mal, ça parait surement stupide, hélas c'est un ressentiment que j'ai là, au fond d'cette cervelle.

Alors oui, parfois la colère m'emplit, m'emplit tellement qu'elle se déverse partout et surtout aux mauvais endroits... C'est à moi-même que j'en veux et à personne d'autre. A cette douleur qui me suit partout, qui m'fait devenir un tyran à tendance obsessionnelle. Je voudrais tellement de choses... Qu'on me comprenne peut être, mais je ne laisse à personne cette chance, je le sais. Peut être parce que la douleur est incompréhensible aussi? Elle me rend dingue.

By Lu'.

Bien sûr qu'un jour se sera fini. Mais ce jour prend son temps pour arriver et ça m'exténue... Mais je peux pas tenir l'espoir à porter de main tout le temps, je n'y arrive tout simplement pas. Parfois, ça devient juste d'y croire, de croire...

J'suis simplement fatiguée de tout ça. C'est qu'une vaste comédie à l'allure burlesque.
...

Out of hand.

Mon, 13 Oct 2008 22:06:29 +0200

Le temps, lui,
s'écoule comme une parole inachevée.

By Paul.

Rien ne déteindra plus ?

L'insaisissable te surprend juste dans son geste fugitif.

Take my arm, 'cause I feel so much pain inside him.
Goin' faster to forget the time.
Sometimes I wonder if I'm not becoming crazy.

Découvrez Incubus!

Be what you are.

Sun, 28 Sep 2008 20:21:39 +0200

Découvre-là,
rayonnante jusqu'au dernier soupir.

[...]

A dyin' sun by paul.

Regarde-la s'évaporer peu à peu avec ce regard brillant.
Fébrile, le ciel l'enveloppe de ses douces incertitudes.

Laisse lui le temps de ne pas y croire.
Bousculée ou inachevée. Frôlant simplement l'impossible.
La mélodie se renouvelle sans cesse ?

Découvrez Moriarty!